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17 déc. 2015 - 14:00

Chaque lundi, je poste un mot ou une phrase trouvé par ce site. L'idée est d'écrire quelques lignes chaque semaine pour se forcer à travailler son vocabulaire et sortir de ma zone de confort.

Le texte devra être posté le dimanche soir au plus tard.

Si d'autres souhaitent utiliser le même thème, ils peuvent poster à la suite.

Si vous souhaitez commenter, notamment me corriger et me rappeler certaines règles, ça ne me fera pas de mal.

C'est avant tout un exercice, je n'ai pas franchement les qualités d'un auteur !

Semaine du 04 au 10 janvier 2016 : "Une philosophe aliénée"
Semaine de 28 au 03 janvier 2016 : "Des cailloux"
Semaine du 21 au 27 décembre 2015 : "Un survivant"
Semaine du 14 au 20 décembre 2015 : "Un truc traître "


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Message posté le 22:21 - 18 déc. 2015

Un Truc traître



Grandir est une épreuve douloureuse. Nous naissons innocent et naïf mais pour si peu de temps. Très rapidement, nous réalisons que toute notre vie, nous serons accompagnés par cette chose perfide et déloyale qui sera source de tant de frustration.

Le premier souvenir n'en est pas vraiment un, mais nous avons tous l'image en tête d'un enfant qui tente désespéramment de se lever, vacille, chancelle, trébuche sans perdre espoir et, enfin, réussit à effectuer ses premiers pas pour se diriger vers les bras tendus de ses parents, pour leur plus grande joie. Dans toute cette effusion de bonheur, le bambin encore influencé par le mimétisme, participe à l'allégresse générale par ses petits rires et cris, oubliant par la même, ces fourbes jambes qui ont refusé si longtemps de lui obéir, se dérobant sans cesse. Il omet toutes les privations provoquées par cette incapacité : l'impossibilité d'atteindre son jouet préféré ou cette chose laissé sur la table basse et qui brille et qu'il aimerait bien mettre à la bouche pour voir. Mais surtout, SURTOUT, il y a la cage ! Cette prison que les parents justifient par un besoin de sécurité "sinon tu vas te faire mal en tombant ou te cogner mon bébé".
Ce n'est malheureusement que le début d'une longue vie de combat mon cher petit.

Vient l'étape de se nourrir de manière "civilisée". Fini le biberon, fini les "aaaaahhh on ouvre grand la bouche" avec une cuillère adroitement dirigée par un parent. Non, il a été décidé que dorénavant, bébé devra tenir ce maudit couvert et réussir à apporter son précieux chargement jusque dans sa bouche. L'exercice semble si simple et pourtant ...
Au moins me diriez-vous, c'est l'occasion de lancer sa purée de manière totalement innocente, droit dans la face de son tortionnaire du jour. Mais vous en voulez surtout à votre main et bras qui ne semblent pas vouloir comprendre les notions de subtilité et de distance. Ou ils y mettent beaucoup de mauvaise volonté !

Bon, nous n'allons pas nous rappeler tous les déboires de la petite enfance et nous épargner le passage de la couche au pot ... pour se souvenir de ce moment cette fois très redouté par les parents : la si terrible adolescence !

Car l'enfant grandit et a besoin d'être accepté et aimé par ses camarades, d'entrer dans le moule, il est renvoyé à un problème d'image et le corps devient un problème critique. Il désire avoir toutes les caractéristiques physiques de ses camarades mais surtout pas de celles dont il a hérité. Et ne parlons même pas de l'acné, des cheveux gras, de l'appareil dentaire ...
Quoi d'étonnant, après toute cette perfidie de son propre corps, d'avoir un caractère exécrable !

Nous pourrions croire qu'après l'adolescence, nous avons enfin passé l'étape la plus difficile. Oui, il est vrai qu'en général, nous sommes assez épargné physiquement durant quelques temps, qu'une certaine phase de tranquillité advient. A croire que notre ennemi a épuisé toutes ses munitions. Mais méfiez-vous, il ne fait qu'endormir votre confiance. Vous allez bien vite vous rendre compte d'une chose terrible et irréversible : vous vieillissez !
Le mal de dos, la vue qui baisse, l'embonpoint, la fatigue, les rides, la perte de cheveux ... oui votre corps vous saborde.
Le corps, ce truc traître !


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Message posté le 01:36 - 19 déc. 2015

Hé ben, c'est pessimiste comme façon de grandir ! ;)

Il serait intéressant je trouve, de préciser le mot que tu as dû utiliser (il me semble que c'est "vaciller" dans ce cas). Petite astuce du soir : les mots "truc" et "chose" sont à utiliser le moins possible ; ce sont des termes génériques qui ont un sens amoindri, peu de valeur littéraire.

Keep on, Méli !

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Message posté le 11:23 - 19 déc. 2015

Merci Lep' ^^.

Le thème était "un truc traître", c'est pourquoi l'utilisation de truc et chose. Chose au début pour ne pas utiliser immédiatement corps et laisser dans l'interrogation de ce qu'est ce truc traître.

Sinon les mots sur lesquels j'ai du travailler un peu pour éviter la répétition : enfant, frustration, traître, joie.
Vaciller, c'est du coup par hasard que j'ai découvert que je l'écris mal depuis des années ! xp

Bon le travail n'est pas extraordinaire dessus, mais le but n'est pas l'exploit mais d'entraîner mon cerveau ^^.
Les semaines suivantes, il y aura une semaine complète donc j'essaierai de retravailler mes textes avant de poster.


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Message posté le 21:00 - 21 déc. 2015

J'aime bien le concept du texte sur le « truc traître »... et le texte lui-même aussi, d'ailleurs ; il est bien amené. ^^
Je suis un peu sceptique quant à la pertinence de la « cage » dans un texte qui attaque la fourberie du corps, mais c'est vraiment le seul élément de fond qui me titille un peu le nerf gauche :p

Quelques remarques en vrac :



Et sinon, du coup on peut aussi participer ? Il faut que le mot / la phrase figure effectivement dans le texte ou c'est seulement un thème ?


« Au troisième bof, il sera exactement trop tard ».
Papa Talon (Greg)
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Message posté le 21:41 - 21 déc. 2015

Merci pour tes remarques, je vais me corriger et c'est encourageant.

Tu peux participer, ce sera plus plaisant d'être accompagné. C'est seulement un thème qui n'est pas obligé de figurer comme phrase dans le texte.


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Message posté le 21:19 - 22 déc. 2015

Allez, je tente un petit quelque chose :


« Au troisième bof, il sera exactement trop tard ».
Papa Talon (Greg)
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Message posté le 00:10 - 23 déc. 2015

J'adoooore ton humour et tes jeux de mots ! Je me suis demandée dans quoi tu partais au départ puis, après quelques jeux de mots, comment tu allais bien pouvoir terminer. Bravo, très bien mené !
Je n'hésiterai pas à aller te lire chez les litté, j'aime beaucoup ton style d'écriture.

J'ai hâte de te voir participer aux trophées !


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Message posté le 21:09 - 27 déc. 2015

Bon, c'était prévisible, j'ai pas trouvé le temps de remplir mon défi de la semaine ! Heureusement, Adresul était là !


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Message posté le 18:09 - 28 déc. 2015

De mon côté, je me suis offert pour Noël une boîte de Story Cubes, histoire de m'entraîner à écrire rapidement des histoires courtes sans avoir à me prendre la tête sur un scénario élaboré.

L'idée n'est pas de construire une nouvelle à proprement parlé, mais juste d'écrire vite.


Pour ce premier essai j'ai lancé :

- quatre dés pour avoir des éléments principaux à exploiter,
- deux dés pour avoir un personnage
- trois dés pour avoir un début, un milieu et une fin




Et ça donne ça :


Colvert. Appelons-le Colvert. C'est un nom de code comme un autre et ça correspond assez bien à ce qu'il est : un plongeur d'élite qui arrive par les airs en parachute et évolue dans l'eau, aussi bien en mer que dans un bassin ornemental.

En l'occurrence, ça sera le bassin ornemental. Enfin... l'étendue d'eau est somme toute assez vaste. En tout cas proportionnelle au reste de la propriété.

Le soldat a déjà pris soin d'enrouler son parachute et de le couler au fond du petit lac artificiel, lesté par quelques kilos de cailloux ramassés en bordure de la petite plage qui fait face à l'immense manoir. Style classique, à vue de nez. Mais le parachutiste n'est pas expert en architecture et à vrai dire, il se fiche bien de la différence entre un pilastre corinthien et une colonne ionique.

Ce qui l'intéresse se trouve à l'intérieur, dans la bibliothèque. Il se remémore les photos que ses officiers supérieurs lui ont montré quelques heures plus tôt. Il a retenu en quelques secondes le plan de l'édifice et cherche à présent du regard l'entrée de service qui devrait le mener assez facilement vers les étages.

Il brasse un peu d'eau croupie autour de lui. Il détend ainsi ses bras et ses jambes immergés depuis près d'une heure. Il attend patiemment que les dernières lumières s'éteignent aux fenêtres. Il a amerrit au milieu de l'étang en plein nuit. Une fine couche de brouillard s'est levée à mesure que l'air ambiant se refroidissait dans la nuit et lui cache partiellement la vue de la façade. Son visage dépasse de quelques centimètres la surface, juste sous son nez. L'éclairage disparaît enfin du salon. Il devine le parcours des châtelains à l'extinction progressive des lueurs le long des couloirs et enfin des chambres.

Une terrasse s'illumine, puis s'éteint. Puis se rallume. Il vient de repérer le gardien qui passe régulièrement devant le détecteur d'un spot extérieur. Colvert peut sentir la fumée de cigarette depuis son poste d'observation, dissimulé entre les roseaux, immobile.

La ronde du gardien est immuable depuis plusieurs semaines. Les observateurs qui l'ont précédés depuis un mois sont formels. Il aura donc un créneau de quatorze minutes pour agir dès que le vigile aura écrasé sa cigarette dans le petit cendrier posé sur le parapet de la terrasse. Comme chaque soir, il commencera sa veille par une inspection du jardin qui se trouve de l'autre côté de la bâtisse, avant de faire le tour de l'étang puis de retourner rôder le long des couloirs des trois étages et du rez-de-chaussée. Et ainsi de suite quatre fois pendant toute la nuit.

Quatorze minutes, c'est largement assez pour crocheter un cadenas, traverser le sous-sol et trouver sa voie jusqu'à l'escalier monumental qui dessert tous les niveaux depuis le gigantesque hall d'entrée. Le plus compliqué sera sans doute de déjouer l'alarme de sécurité qui protège les vitrines de la bibliothèque. Mais il est équipé en conséquence. Et si jamais l'impensable venait à arriver, son Famas serait toujours là pour lui donner un coup de main. Bien que ça ferait moche sur le rapport, laisser trois ou quatre cadavres derrière lui reste pour l'État-major, une option envisageable. Seule la réussite de la mission importe. Quel qu'en soit le coût. Mais s'il peut éviter de tuer qui que se soit cette nuit, ça l'arrangerait. Il ne tient pas plus que ça à devoir passer trois semaines au vert à palabrer avec une ribambelle de psys et de médecins qui l'ausculteront avant de le déclarer à nouveau apte à retourner sur le terrain.

Le gardien de nuit s'approche du parapet sculpté, tire une dernière latte sur son mégot avant de l'écraser et de se diriger vers la baie vitrée. Colvert ferme les yeux quelques secondes, concentré sur chaque bruit. Il attend de percevoir le grincement de la poignée qui lui confirmera le départ du vigile.

Dès qu'il est persuadé d'être parfaitement libre de se mouvoir, il fend l'eau glacée en silence pour venir ramper vers la grève minuscule. Il se défait de son masque et de sa cagoule et sort de son sac à dos le matériel dont il aura besoin pour les prochaines minutes. Fusil en bandoulière, poche bien remplie, il glisse sur l'herbe puis sur les pavés du parvis et se colle au mur près de la petite porte de service en fer. Il examine le cadenas, reconnaît le modèle et choisit la pince adéquate pour le faire sauter.

Une fois à l'intérieur du sous-sol, ses yeux habitués à la pénombre lui permettent de se diriger avec une aisance incroyable. Il frôle les établis, survole les caisses d'outils et atteint déjà le soupirail qui mène vers le hall.

Ses semelles feutrées n'émettent aucun bruit lorsqu'il se précipite sur le marbre des larges marches de l'escalier central.

Depuis qu'il a embarqué à bord du drone en début d'après-midi, il a eu le temps de s'entraîner à visualiser l'architecture intérieure à partir des photocopies des plans fournis par ses collègues du renseignement. Il a l'impression de connaître le château par cœur, comme s'il y avait toujours vécu. Colvert se méfie cependant des bibelots et des vases précieux juchés sur les dessertes et les guéridons qui ornent chaque couloir.

Enfin, il pénètre la bibliothèque. La hauteur de plafond est bien plus impressionnante que ce à quoi il s'était préparé. Il s'attendait à une pièce gigantesque, mais visiblement, il n'avait pas envisagé quelque chose d'encore plus immense. Il court de vitrine en vitrine, sent poindre la panique. Il vérifie son chronomètre : il perd trop de temps à dénicher son objectif. Il se pince les paupières à la jointure du nez et du front. Il respire un grand coup pour baisser son rythme cardiaque, puis jette un coup d'œil circulaire aux environs.

Là ! Les nuages se sont légèrement dissipés et un rai de lumière lunaire vient se refléter sur la pointe d'une flèche en argent. Il se précipite vers le verre de la tablette et essaie de repérer le système d'alarme.

Il n'y en a pas.

Qu'est-ce que...

Impossible, si cette flèche est si précieuse pour son État-major, elle devrait être mieux protégée. Et ça ne correspond pas aux informations qu'on lui a fournies. Un nouveau coup d'œil à sa montre. Il doit prendre une décision. Il soulève délicatement le rabat de la vitrine et prie pour ne pas entendre le sifflement strident d'une sirène. Rien. Il s'empare de la flèche. Celle-ci est bien trop légère. C'est du plastique. Une imitation. Un simple moulage. Il remarque une étiquette cartonnée sous le présentoir d'où il vient de soulever le jouet. Une simple phrase.

« Tel Colomb, d'Est en Ouest »

Une énigme. Mais qu'est-ce qu'il en a bien à foutre d'une putain d'énigme.

Encore six minutes. Il pourra toujours passer par la fenêtre pour gagner du temps au retour. Il a le temps. Il doit réfléchir. Mais trouver vite.

Il a vu un globe terrestre près d'une table de lecture trois minutes plus tôt alors qu'il furetait dans le labyrinthe de rayonnages. Il y court, plein d'espoir. La mappemonde semble antique. Les pays sont grossièrement dessinés et parcourus de pattes de mouche en latin. Il se penche pour mieux l'observer. Il n'ose pas la faire tourner. Il s'agenouille pour observer de plus prêt le socle. Le voilà, le système d'alarme. Sommaire. Il suit les fils électriques du bout du doigt. Ceux-ci viennent se perdre à l'intérieur du globe, au niveau de l'axe de rotation. Impossible de le forcer. Il a une pensée pour les ingénieurs qui ont développé le logiciel de craquage de code électronique contenu dans son smartphone de compétition. Le piège est bel et bien mécanique.

Deux minutes. Il passe en revu la surface de la planète, à la recherche d'un indice. On dirait. Oui ! C'est bien ça : certains pays sont en fait des poussoirs, il le remarque à l'absence de ciment autour des pièces de marqueterie.

Tel Colomb, d'Est en Ouest.

À l'Est. Ce doit être le Portugal. Christophe Colomb est parti du Portugal ? Non. Il était Italien. Ou alors était-ce l'Espagne ? Oui. Colvert se souvient d'un film où il était question de la Reine d'Espagne. Il doit donc appuyer en premier sur l'Espagne. Et ensuite : l'Amérique. Mais où ?

Où est-ce que ce putain de Rital a bien pu débarquer ? En Colombie ? Non, ça ne peut pas être aussi simple. Et s'il suit du doigt une ligne droite qui irait de l'Espagne à travers l'Atlantique... il arrive à Boston. Ça ne colle pas.

Colvert transpire désormais à grosses gouttes. Il repense à ses épreuves du bac. À Madame Rovier, sa prof d'Histoire-Géo. Il ne se souvient plus trop de son visage, mais il se rappelle par contre très bien de sa magnifique poitrine corsetée. Il aimait voir ses gros seins secoués par ses quintes de toux. Madame Rovier était une grosse fumeuse. Elle fumait des... des cigares !

Colvert cherche avidement une destination dans le golfe du Mexique.

Colomb a débarqué à Cuba !

Un petit clic se fait entendre lorsque l'équateur s'entrouvre. Colvert arrache un bon quart de la planète de son socle et découvre sous ce couvercle la flèche originale, l'éclat de l'argent un peu terni. Il glisse deux doigts le long de la tige torsadée et l'extirpe méticuleusement pour ne pas heurter la sonnette de cette alarme d'un autre âge.

Dans le couloir, la lumière s'allume. Il entend les pas du gardien gravir l'escalier monumental. Colvert n'a plus le temps de rebrousser chemin comme il s'y attendait. Il se dirige vers les hautes porte-fenêtres son trésor à la main. Il empogne une poignée verrouillée. Cherche dans la précipitation une autre issue voisine. L'une des sorties possède une clef enfoncée dans la serrure sous la poignée. Il tourne sans plus se soucier du moindre bruit et traverse la terrasse jusqu'au parapet. En se hissant sur le rebord il est ébloui par le spot qu'il vient d'activer et fait tomber le cendrier en forme de tortue. Le récipient en terre cuite descend les deux étages avant de s'écraser sur les pavés plus bas.

Colvert prépare ses genoux pour l'atterrissage et se laisse tomber. Il encaisse le choc en se roulant sur le sol et se jette littéralement dans le premier massif de rhododendron qu'il croise.

Mais pourquoi, Bon Dieu, a-t-on fait appel à lui pour cambrioler un manoir corse dans le simple but de voler une flèche en argent ?



"J'ai une âme solitaire"
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Message posté le 13:00 - 30 déc. 2015

L'histoire est cohérente et sympathiquement menée et pourtant, quand j'ai vu les dés, je me suis demandée comment tu allais tout placer.
Un peu déçue par la tortue cependant ^^.

J'aime toujours autant te lire, je suis donc ravie de ce jeu !


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Message posté le 19:07 - 1 janv. 2016

Merci beaucoup :)

Je fais ce que je peux avec ce que je tire au sort ^^

La deuxième tentative a été beaucoup moins intéressante. Je l'ai assez vite avorté. Je teste des trucs, je tâtonne... j'ai pas encore trouvé la meilleure méthode pour exploiter l'idée.



"J'ai une âme solitaire"
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