Aucun évènement à venir.
Sexe et âge du personnage
Viktor Plumant a 48 ans et est de sexe masculin.
L'histoire du héros
Viktor Plumant – de son nom de naissance : « Honoré Gustave Vitrum » – est né à Sûl-Nacre, d'un père marchand et d'une mère qui savait repérer les bonnes affaires. Élevé dans la petite bourgeoisie, il a bénéficié d'une « bonne » éducation qui devait le préparer à prendre la relève de ses parents une fois devenu adulte. Chose qu'il ne fit pas le moins du monde puisque peu après sa majorité il quittait sa ville natale, heureux de mettre des kilomètres entre lui et l'hypocrisie de la cité de verre au main de la Maffia.
Attiré comme un aimant par les cités ouvrières, notamment celles de Cories et de Belle Thil, il y a rencontré d'étonnants personnages et y a ramassé de tenaces idéologies. Le positivisme d'abord, auprès d'un scientifique dénommé Sergueï Tourgueniev, qui avait fui comme lui sa famille aisée ; le nihilisme au contact du philosophe Friedrich Zetschien et le socialisme en travaillant parmi les ouvriers des cités-États.
Ayant vendu le corps de sa jeunesse aux mines et aux champs, Viktor a, vers ses trente ans, diversifié ses activités. Il propose depuis des papiers a la presse ouvrière ; ses sujets préférés, à savoir la politique, la corruption et les magouilles financières, permettent par moment aux journaux de faire de bons tirages.
Sous son vrai nom – bien qu'en dehors de son imprimeur personne n'a fait le rapprochement entre ses identités – il publie deux ouvrages destinés à un public différent, un public lettré. Le premier, William Ael, l'aristocrate aux ailes d'or est une biographie du célèbre aviateur ; tandis qu'avec le second, Les conflits de strates sur le continent aélissien, il observe les mouvements sociaux à travers le prisme du positivisme et d'un socialisme subtil.
Ouvrier, journaliste, écrivain ; de nombreuses poutres sont prêtes à lui tomber sur le coin de la figure.
Attiré comme un aimant par les cités ouvrières, notamment celles de Cories et de Belle Thil, il y a rencontré d'étonnants personnages et y a ramassé de tenaces idéologies. Le positivisme d'abord, auprès d'un scientifique dénommé Sergueï Tourgueniev, qui avait fui comme lui sa famille aisée ; le nihilisme au contact du philosophe Friedrich Zetschien et le socialisme en travaillant parmi les ouvriers des cités-États.
Ayant vendu le corps de sa jeunesse aux mines et aux champs, Viktor a, vers ses trente ans, diversifié ses activités. Il propose depuis des papiers a la presse ouvrière ; ses sujets préférés, à savoir la politique, la corruption et les magouilles financières, permettent par moment aux journaux de faire de bons tirages.
Sous son vrai nom – bien qu'en dehors de son imprimeur personne n'a fait le rapprochement entre ses identités – il publie deux ouvrages destinés à un public différent, un public lettré. Le premier, William Ael, l'aristocrate aux ailes d'or est une biographie du célèbre aviateur ; tandis qu'avec le second, Les conflits de strates sur le continent aélissien, il observe les mouvements sociaux à travers le prisme du positivisme et d'un socialisme subtil.
Ouvrier, journaliste, écrivain ; de nombreuses poutres sont prêtes à lui tomber sur le coin de la figure.
Sa personnalité
Acariâtre, têtu, revanchard, querelleur ; il a de nombreux défauts. Heureusement, pas tous et il sera plus aisé de lister les mauvais traits qu'il ne possède pas, plutôt que de faire l'étalage des bons, puisqu'il les niera et les balaiera d'un revers de la main.
Ainsi il n'est pas cupide, avide de pouvoir, déloyal, malhonnête, cruel ou sanguinaire, ni courtois – qui est une imperfection qu'il combat chaque jour – et encore moins élégant – même si pour des besoins de travestissement il est capable de reprendre le port obséquieux qui lui a été inculqué.
Ainsi il n'est pas cupide, avide de pouvoir, déloyal, malhonnête, cruel ou sanguinaire, ni courtois – qui est une imperfection qu'il combat chaque jour – et encore moins élégant – même si pour des besoins de travestissement il est capable de reprendre le port obséquieux qui lui a été inculqué.
Ses caractéristiques physiques
De son modeste mètre soixante-treize, Viktor Plumant vous regarde, narquois. Ses yeux gris vous détaillent de haut en bas, le coin de sa petite bouche se soulève légèrement. Il vous juge. Ses cheveux noirs qu'il porte jusqu'aux épaules sont souvent gras ; il arrive que certains été il rafraîchisse sa coiffe en coupant une bonne dizaine de centimètres. Il aime sa barbe quand elle a vécu une quinzaine de journées. Il n'a pu totalement se défaire de la coquetterie de son enfance car il peigne et entretient sa pilosité faciale – de là à dire qu'il était poilu à dix ans il n'y a qu'un pas qui ne sera pas franchi ici.
Bedonnant, il n'a plus le souffle qu'il avait jeune adulte et sa perte d'endurance – sur bien des points – n'arrange pas son humeur. Si Viktor n'est plus le fringant idéaliste qui a quitté Sûl-Nacre, près de trois décennies à voyager lui ont assuré de sacrés directs du gauche et du droit, faisant de lui un adversaire redoutable à la savate. Par ailleurs, il demeure en lui quelques restes d'escrime issus de son enfance, habilité qu'il a préféré remplacer par l'usage d'armes à feu quand il a les moyens de s'en offrir une.
Viktor Plumant porte un amalgame de vêtements : de souples chausses de cuir pour la marche, un solide bleu de travail des mineurs des Cories, une longue redingote noire usée et comme couvre-chef, une barretina délavée de couleur écrevisse qu'un marin de Gav'Orn lui avait offert. Pour couronner le tout, il fume la pipe.
Son drôle d'accoutrement attire les regards et il en joue.
Bedonnant, il n'a plus le souffle qu'il avait jeune adulte et sa perte d'endurance – sur bien des points – n'arrange pas son humeur. Si Viktor n'est plus le fringant idéaliste qui a quitté Sûl-Nacre, près de trois décennies à voyager lui ont assuré de sacrés directs du gauche et du droit, faisant de lui un adversaire redoutable à la savate. Par ailleurs, il demeure en lui quelques restes d'escrime issus de son enfance, habilité qu'il a préféré remplacer par l'usage d'armes à feu quand il a les moyens de s'en offrir une.
Viktor Plumant porte un amalgame de vêtements : de souples chausses de cuir pour la marche, un solide bleu de travail des mineurs des Cories, une longue redingote noire usée et comme couvre-chef, une barretina délavée de couleur écrevisse qu'un marin de Gav'Orn lui avait offert. Pour couronner le tout, il fume la pipe.
Son drôle d'accoutrement attire les regards et il en joue.
Couleur des dialogues
Code couleur : #F787EA
